J’ai célébré ton chant.
Je l’ai chéri dans mon cœur,
jusqu’à l’en trop serrer.
Aujourd’hui il est mort.
J’ai aimé ton chant plus que moi-même,
Et, à travers lui, c’est toi,
que j’ai aimée, plus que moi-même.
Aujourd’hui tu es morte.
Il ne reste plus rien de ton chant ;
Je célèbre les choses mortes ;
c’est mon rôle de poète.
Ah ! Si comme tout je pouvais mourir !