Je nous imaginais dépassant le monde,
Rêvant d’un azur sans faille, d’une vie simple,
Je contemplais les yeux éblouis ce qui s’offrait à moi :
A peine ouvrais-je un livre qu’il me parlait de toi,
A peine écrivais-je un mot qu’il était fait pour toi,
Et dans ce complet environnement, cette obsession,
Je me disais que la vie serait simple, serait douce.